On en rêvait… Et bien on a décidé de tenter le coup.
On lance fièrement les pré-ventes de notre magazine papier et même qu’on a même pas peur des modes, du désintérêt pour la presse et du grand méchant internet… Nique sa m… on le fait !
Alors forcément on espère que vous serez au rendez-vous et on vous explique pourquoi.

Faut avouer que l’année n’a pas été facile, que notre activité a été plus d’une fois mise à mal tout comme pour beaucoup d’entre vous.
Alors on en a profité pour se réinventer et mettre en place ce qui restait jusque-là des fantasmes. On a organisé un petit festival, on a ouvert un lieu bar/boutique/studio, le timing n’était pas des meilleurs, mais on l’a fait. Alors pourquoi s’arrêter là ?
Coincés par ce deuxième confinement, les contrats à l’extérieur prévus étant décalés ou annulés, pourquoi on ne se pencherait pas sur une envie qui montait depuis un moment : lancer un magazine papier.

Nous faisons des constats réguliers sur nos pratiques comme sur vos attentes.
On a évalué que nous sommes aujourd’hui prêts, qu’humblement mais avec force, nous croyons maintenant nos contenus assez qualitatifs pour leur offrir une place de choix, en plus de notre site web.
On vous a écouté aussi, merci à celles et ceux qui prennent le temps de nous faire des retours. Certain-e-s a priori, « consommeraient » plus facilement les contenus les plus denses, sur papier plutôt que sur internet, qui correspond plus au partage de contenus plus concis ou audiovisuels par exemple.
Et puis simplement, on aime les beaux objets qui créent du lien entre les gens.

Le défi ici, c’est de produire un magazine de qualité rassemblant sciences sociales, éducation populaire, poésie, articles de fond ou d’opinion, interviews fournies et des belles images, le tout en lien avec le local mais qui s’exporterait tout de même. Le web viendrait lui, augmenter le contenu, avec des podcasts audio ou vidéos, des articles inédit ou des compléments.
Alors on s’est creusé la tête, on a demandé des devis, on a élargi l’équipe, on a défini que chaque numéro aurait un thème central, et acter que le premier serait : Habiter les ruines. Puisqu’il s’agit de se réinventer, réinventons-nous, et janvier 2021 sera le début de quelque chose de nouveau. En voilà du « Monde d’après » !

OBJECTIF : 10 000 €

Venons-en au très concret.
Un magazine nous couterait à la fabrication, environ 2500€ par numéro pour 500 exemplaires dans un premier temps.
On a donc choisi de proposer un abonnement annuel pour 4 numéros et seulement 25€, direct dans votre boite aux lettres.
5€ le magazine c’est le prix auquel vous le trouverez dans nos boutiques partenaires, mais les pré-ventes sont inévitables et pour nous le meilleur moyen de ne pas risquer trop de trésorerie. Alors l’objectif est simple : 10 000 €.
Avec 10 000 €, on voit venir et on peut sereinement envisager une année de travail sur ce qui va devenir, on l’espère, notre plus belle carte de visite.

On va pas vous casser la tête plus longtemps, ODIL est une belle aventure dans laquelle nous souhaitons vous sentir près de nous.
On y croit fort et fait donc le pari que vous y croirez aussi. Abonnez-vous !

Danke.

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