LABOZERO est une association créée en 2012, elle a permis de rassembler de nombreux artistes, techniciens et sympathisants autour de leur passion pour le cinéma.
L’occasion de s’inventer cinéastes, de créer des espaces temps où tout est possible, ensemble.
C’est aussi la couveuse de nombreux projets, dont ODIL qui n’aurait jamais existé sans Labozero, sans les idées farfelues de ses membres, sans les intuitions de Yo (RIP) à la base de tout.
On vous partage donc les 6 court-métrages qui ont jalonné le parcours de Labozero jusqu’ici : de l’humour, de l’émotion, entre approximations et moments de grâce…

Commençons avec Le jour où Papa a tué le monstre.
Ce film est né en 2017, de l’envie de Mickaël Pillisio et Benjamin Burtin de réaliser un film ensemble. Il s’agit là d’interroger la part d’enfant en chacun de nous, les angoisses de paternité, le passage à l’âge adulte et les responsabilités que cela engendre.



Je suis candidat, comme son titre l’indique a été réalisé pour le Nikon Film Festival par Cédric de Montceau.
Le thème imposé était « Je suis un geste« , l’occasion d’une farce sur l’absurdité du monde politique.
Le film a reçu un très bel accueil, retenu dans les 50 finalistes du concours et a été projeté au festival du court-métrage de Clermont-Ferrand, une belle réussite pour le collectif.



Les deux films suivant s’inscrivaient également dans le cadre du « Nikon ».
Cette année là le thème était « Je suis un choix« , ce qui donna directement le titre du court de Benjamin Burtin, évoquant sobrement le suicide et la solitude. Je suis un mensonge, de Cédric de Montceau, est librement adapté de la nouvelle d’Andrée Chedid : La vérité et met en scène une mère et sa fille à l’aube d’un choix cornélien.



404 est un court-métrage d’anticipation réalisé par Benjamin Burtin dans le cadre du festival Kiss Kiss Bank Bank.
Là aussi la durée et le thème était imposé : « Il était une fois la révolution ».
On y retrouve encore le thème de la filiation, quand la petite fille s’avère être à la base d’une révolution future.



Il était 7 fois est un moyen-métrage fantastique où un jeune geek timide se retrouve héros malgré lui d’une aventure chevaleresque complètement absurde. C’était surtout la première pierre de la maison Labozero, un périple fou, du financement à la réalisation.
Ce premier film a bien sûr ces faiblesses, mais reflète toute l’énergie et la passion qui ont animé les membres de l’équipe pendant le tournage.



Voici donc 6 court-métrage Made in Montceau à découvrir ou redécouvrir dans ce moment spécial pour nous tou-te-s…